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LE SALAIRE DU PÉCHÉ

Ecrits de Charles Taze Russell

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            « Le salaire du péché, c'est la mort ». « Par un seul homme le péché est entré dans le monde et par le péché la mort [comme conséquence] » (Rom. 6 : 23 ; 5 : 12).

            L’ENSEIGNEMENT de l' « Orthodoxie », que le tourment éternel est le salaire du péché, est contredit avec force par les paroles inspirées mentionnées ci-dessus, et par beaucoup d'autres, directes et indirectes, qui pourraient être citées. Comme l'exposé de la Bible est raisonnable ! mais absurde est l'opinion générale qui n'est fondée ni sur la raison, ni sur les Écritures et se trouve en contradiction formelle avec le Plan et le caractère divins représentés dans sa Parole.

            La théorie du tourment éternel eut une origine païenne ; bien que soutenue par les païens, elle n'était pas alors la doctrine impitoyable qu'elle devint ensuite, quand elle commença à s'implanter graduellement dans la chrétienté nominale, lors de son mélange avec les philosophies païennes au deuxième siècle. La grande apostasie n'eut plus qu'à ajouter à la philosophie païenne les détails horribles, crus en général de nos jours, qu'à les peindre sur les murs des églises, comme cela fut fait en Europe, qu'à les décrire dans ses credo et dans ses cantiques, et  également qu'à pervertir la Parole de Dieu, afin de donner un support divin apparent à cette erreur qui déshonore Dieu. En conséquence la crédulité de notre époque la reçoit comme un legs, non du Seigneur, des apôtres ou des prophètes, mais de l'esprit de compromission qui sacrifia la vérité et la raison et pervertit d'une manière éhontée les doctrines du christianisme par une ambition et une lutte sacrilèges en vue du pouvoir, des richesses et des foules.

            Le tourment éternel comme salaire du péché, fut ignoré des patriarches des âges passés ; il était inconnu des prophètes de l'âge judaïque ; ignoré du Seigneur et des Apôtres ; mais il a été la doctrine principale de la chrétienté nominale depuis la grande apostasie. Ce fut le fouet qui maintint dans une obéissance passive à la tyrannie, les crédules, les ignorants, les superstitieux du monde. La peine du tourment éternel fut prononcée contre ceux qui tentèrent de résister ou de s'insurger contre l'autorité de Rome et ses châtiments commencèrent dans la vie présente, dans la proportion où elle était puissante ; et les douleurs du purgatoire furent promises, dans telle mesure qu'elle pouvait imposer, à ceux de ses partisans qui auraient la moindre velléité d'être réfractaires. Sous le terrible esclavage d'une vénération superstitieuse pour des hommes se glorifiant eux-mêmes, les masses, dans une profonde ignorance du plan réel de Dieu et tourmentées d'une affreuse crainte en des souffrances éternelles, abdiquèrent à la fois leur raison et la Parole de Dieu. Et maintenant encore, malgré l'augmentation de la lumière de ce vingtième siècle, il est rare que des hommes osent se faire une opinion par eux-mêmes de la religion et de la Bible (Es. 29 : 13). 

            Écoutons les écrivains inspirés de Dieu en opposition aux traditions des églises devenues païennes et que la raison juge où se trouve la vérité et où est l'erreur. Signalons d'abord l'Ancien Testament la révélation divine qui embrasse, une période de 4000 ans. Les prophètes de l'Ancien Testament ne font pas mention du tourment éternel ; mais, ils indiquent sans cesse que la destruction sera le lot des pécheurs, et déclarent encore à maintes reprises que les ennemis de Dieu périront. La loi donnée à Israël par l'intermédiaire de Moïse ne fit jamais en cas de violation allusion à une autre sanction que la mort. L'avertissement donné à Adam, quand il fut mis à l'épreuve en Eden ne contient pas la moindre idée de torture éternelle en cas de manquement et de désobéissance ; mais au contraire, il est clairement stipulé que la sanction serait la mort : « Au jour où tu en mangeras, mourant, tu mourras » (Gen. 2 : 17 en note. Comparez  Pier. 3 : 8).

            Certainement, si la sanction de la désobéissance et de la chute est une vie éternelle, dans le tourment, ce fut une injustice inexcusable à l'égard d'Adam, des patriarches et du peuple juif de les avoir mal informés sur le sujet et de leur avoir dit que la mort  en était la sanction. Assurément, si Adam, les patriarches ou les juifs se trouvaient dans le tourment éternel où les divers credo des sectes de la chrétienté affirment que la grande majorité se trouvera. ils auraient une raison suffisante pour en appeler à la JUSTICE. Car, eux, non moins que les milliards de païens qui moururent sans connaissance, donc sûrement sans aucune foi, auraient assez sujet de maudire l'injustice d'une telle décision, comme étant l'abus de pouvoir le plus atroce, premièrement, en les engageant, sans leur consentement, dans une épreuve sujette à une sanction aussi terrible et aussi déraisonnable ; et deuxièmement, en laissant une classe complètement ignorante d'une telle sanction et en induisant les autres en erreur en leur disant que le châtiment du péché serait la mort, l'anéantissement. Il faut l’admettre que la présomption que la mort, la destruction, l'anéantissement et les termes analogues signifiaient la vie dans le tourment, revient aux théologiens qui, depuis les jours des apôtres, tordirent les Écritures ; car, nous le prouverons, les apôtres n'enseignèrent rien de ce genre.

            Voyez les écrits du Nouveau Testament : Saint Paul dit n'avoir mis aucune réserve à annoncer tout le conseil de Dieu (Actes. 20 : 27) ; et cependant, il n'écrivit pas un mot sur le tourment éternel. De même, ni St. Pierre, ni St. Jacques, ni St. Jude, ni St. Jean ne le firent, bien qu'on prétende que ce dernier l’ait fait dans les symboles de l'Apocalypse. Mais puisque ceux qui ont cette prétention considèrent le livre de l'Apocalypse comme étant un livre bien scellé, qu'ils ne comprennent pas et ne peuvent comprendre, ils n'ont aucun droit d'en interpréter littéralement une partie quelconque, en violant son caractère reconnu symbolique et en s'opposant directement au reste de la Bible, y compris. les épîtres de Saint Jean reconnues clairement comme étant non symboliques.

            Puisque les Apôtres ne font aucunement mention du tourment éternel, tous les chercheurs de la vérité, particulièrement les chrétiens, auraient intérêt à rechercher ce qu'ils enseignent concernant le châtiment du pêché, en se rappelant que ce sont eux, et non l'Église apostate des âges des ténèbres qui enseignèrent « tout le conseil de Dieu ». L'Apôtre Paul traite ainsi le sujet : « Le salaire du péché c'est la mort » ; les désobéissants « subiront le châtiment d'une destruction éternelle de devant la présence du Seigneur et de devant la gloire de sa force » ; et « plusieurs marchent et sont ennemis de la croix du Christ dont la fin est la perdition » (Rom. 6 : 23 ; 2 Thess. 1 : 9 ; Phil. 3 : 19).

            L'Apôtre Jean dit : « Le monde s'en va et sa convoitise, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement ». « Celui qui pratique le péché est du diable, car dès le commencement le diable pèche. C'est pour ceci que le Fils de Dieu a été manifesté afin qu'il détruisît les oeuvres du diable ». « Celui qui n'aime pas son frère demeure, dans la mort. Quiconque hait son frère est un meurtrier et vous savez qu'aucun meurtrier n'a la vie éternelle demeurant en lui... Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n'a pas le Fils de Dieu, n'a pas la vie » (1 Jean 2 : 17 ; 3 : 8, 14, 15 ; 5 :12).

            L’Apôtre Pierre dit que les désobéissants « seront exterminés d'entre le peuple », que les méchants « feront venir sur eux-mêmes une prompte destruction » ; et que le Seigneur ne veut pas « qu'aucun périsse, mais que tous viennent à la repentance ». (Actes. 3 : 23 ; 2 Pier. 2 : 1 ; 3 : 9). L'Apôtre Jacques dit : « Le péché étant consommé, produit la mort ». « Un seul est législateur et juge, celui qui peut sauver et détruire » (Jacq. 1 : 15 ; 4 : 12).

            Quiconque a étudié le sujet ne peut considérer comme étant un châtiment trop clément, celui du péché ainsi que l'exposent et le définissent les Écritures. Quand il est bien compris, on se rend compte qu'il n'est ni trop clément, ni trop sévère, mais simplement « une juste rétribution ». « Le don de Dieu ». dit l'Apôtre « est la vie éternelle ». Et ce don, ou faveur, attribué à Adam et par lui à sa postérité devait être perpétuel à la seule condition qu'ils l'emploient convenablement à glorifier Dieu dans leur bonheur et leur bien-être, et non à le déshonorer par la rébellion et le péché. Dieu se réserva quand il créa, à la fois le droit et le pouvoir de détruire ce qu'il considérait comme  indigne d'une existence perpétuelle. En conséquence, quand l'homme pécha, Dieu retira simplement la faveur qu'Il lui avait accordée, laquelle avait été mal employée, et la mort (la destruction) s'ensuivit, précédée naturellement par une décadence mortelle, la douleur, la maladie, et un dépérissement mental, moral et physique.

            Si Dieu n'avait pas pourvu à la rédemption par Christ, le châtiment de la mort qui vint sur notre race par Adam aurait été éternel ; mais par la miséricorde divine, tous ont été rachetés de la mort. Cependant tous devront encore venir individuellement sous la même loi divine qui ne change pas, savoir : « Le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don de Dieu est la vie éternelle par Jésus-Christ, notre Seigneur » (Rom. 6 : 23).

            Notre Seigneur Jésus employa-t-il jamais l'expression le tourment éternel ? Laissa-t-il une seule fois entendre qu'Il était venu dans le monde pour sauver les hommes du tourment éternel ? Non, jamais ! Cependant si telle était la vérité et si, ne Le recevant pas, ils étaient sous le danger d'un châtiment aussi terrible, il n'y aurait eu ni justice, ni miséricorde de Sa part d'avoir caché une vérité si importante. Cependant, Il leur dit qu'Il venait pour les sauver de la mort, de la perdition. La mort, le châtiment du péché, tombant sur tous, aucun ne pouvait espérer dans une vie future, mais tous périssaient sans espoir, si le Christ ne les avait rachetés de la mort pour les ramener à ce qui fut perdu par Adam, la droiture et ses privilèges de vie et de faveur éternelles. Le titre du Seigneur, Sauveur, a aussi une importance dans cet examen. Il n'implique pas un Libérateur ou Sauveur du tourment éternel, mais un Sauveur de la mort. Le Seigneur et les apôtres employaient la langue des Samaritains, et dans cette langue le mot Sauveur signifie Donateur de vie.

            Nous pouvons très bien nous demander : « Que dit notre Seigneur au sujet de sa mission ! ». Il dit qu'il vient « prêcher la délivrance aux captifs ». A quels captifs pourrait-Il faire allusion, si ce n'est aux captifs du péché, recevant journellement son salaire, mourant peu à peu et entrant dans la grande prison, la tombe ? Il déclara qu'Il venait pour « ouvrir les portes des prisons ». De quelle prison sinon la tombe dont a également parlé le prophète ? (Voir  Es. 61 : 1 ; Luc 4 : 18). Il déclara qu'Il venait pour que les créatures humaines « aient la vie » ; « pour donner sa vie en rançon pour plusieurs » vies, afin que croyant en Lui, les hommes ne périssent point, mais qu'ils aient la vie éternelle » ; et encore « resserré est le chemin qui mène à la vie », et « spacieux est le chemin qui conduit à la perdition » (Jean 10 : 10 ; Matt. 20 : 28 ; Jean 3 : 16 ; Matt. 7 : 13).

            Les chrétiens se prétendant orthodoxes admettent en général que notre Seigneur Jésus racheta la race humaine par sa mort, qu'Il endura volontairement le châtiment des péchés de l'homme, afin que ce dernier puisse être délivré de cette peine. « Certainement il a porté nos langueurs et s'est chargé de nos douleurs ». « Il a été blessé pour nos transgressions ; Il a été meurtri pour nos iniquités ; le châtiment de notre paix a été sur Lui et par ses meurtrissures nous sommes guéris » (Es. 53 : 4, 5).

            Cela étant admis, il est facile de définir avec une certitude absolue et incontestable ce que fut le châtiment de nos péchés, sachant ce que notre Seigneur Jésus endura volontairement « quand le châtiment de notre paix » lui fut infligé. Souffrit-il le tourment éternel pour nous ? Si oui, cela prouverait alors que tel est le châtiment de nos péchés. Mais personne ne prétend cela, et les Écritures enseignent, au contraire, que notre Seigneur est maintenant dans la gloire et non dans le tourment, ce qui est la preuve indiscutable que le salaire du péché n'est pas le tourment éternel.

            Mais que fit notre Seigneur pour assurer l’annulation de nos péchés ? Que donna-t-il quand Il déposa le prix de notre rançon, le prix ou le châtiment contre les pêcheurs ? Laissons répondre les Écritures. Elles déclarent explicitement et à plusieurs reprises que Christ mourut pour nos péchés ; qu'Il donna sa vie en rançon pour assurer la vie des pécheurs condamnés ; qu'Il nous acheta par son sang précieux ; que dans ce dessein le Fils de Dieu fut manifesté en chair, afin qu'Il pût donner sa chair pour la vie du monde ; que par un homme (Adam) vint la mort, par un homme (« homme Christ Jésus ») viendrait la résurrection des morts (1 Cor. 15 : 3 ; Matt. 20 : 28 ; 1 Tim. 2 : 5, 6 ; Osée 13 :14 ; 1 Cor. 6 : 20 ; 1 Pier. 1 :18, 19 ; 1 Jean  3 : 8 ; Jean 6 : 51 ; 1 Cor. 15 : 21).

            Peut-on douter encore de la doctrine lumineuse de la Bible, savoir que le « Salaire du péché, c'est la mort ? ». Y a-t-il lieu de douter encore que le dogme païen sur le tourment éternel est à la fois absurde et en contradiction avec les Écritures ?

            Nous compléterons l'excellente discussion précédente en soumettant au lecteur le canevas suivant de la plume d'un autre auteur sur le même sujet :

LE SALAIRE DU PÉCHÉ

EST-CE LA VIE ÉTERNELLE DANS LE TOURMENT OU LA MORT ?

 

OU EST LA VÉRITÉ A CE SUJET ?

    

I CE N'EST PAS LA VIE ÉTERNELLE DANS LE TOURMENT.

A. Les Écritures n'enseignent nulle part que le Salaire du péché est la vie éternelle dans le tourment.

B. Cette doctrine est contraire aux passages des Écritures.

C. Elle est contraire aux doctrines des Écritures.

D. Elle est contradictoire avec elle-même, c’est  impossible de l’infliger.

E. Elle est contraire au caractère de Dieu qui est la perfection en Sagesse, Puissance, Justice et Amour.

F. Elle est contraire à la Rançon de Christ prix correspondant lequel fut livré à la mort et non au tourment éternel.

G. Elle est contraire, à tout esprit normal et manifeste ses défenseurs comme déraisonnables, et ses dupes comme insensées en de nombreux cas.

H. Elle est contraire à l'expérience qui montre que ce n'est pas cette peine, mais une autre qui est infligée.

I. Elle est contraire la piété, elle est une injure à la vraie foi, à l'espérance et à l'amour, elle répand la terreur, l'incrédulité, le désespoir, et la dureté de cœur.

J. Elle est contraire à la raison qui se révolte tout entière devant une telle sentence.

K. Elle est contraire à la doctrine que le péché cessera.

L. Elle est contraire à la doctrine que le mal cessera.

M. Elle est contraire à la doctrine que la vie éternelle est une récompense.

N. C'est une doctrine païenne.

O. C'est un enseignement de Satan et de ses anges déchus.

P. Elle a été une des causes agissantes de persécution par des hommes qui n'avaient pas l'esprit du Seigneur et qui étaient pleins de l'esprit de l'Adversaire.

Q. Elle est un instrument d'intrigues cléricales.

R. Elle est la contrefaçon papale du salaire véritable du péché.

S. Elle est basée sur une vue erronée de la nature et des qualités de l'âme humaine.

T. Elle est basée sur une vue erronée de l'enfer.

U. Elle est basée sur une vue erronée de la vie éternelle.

V. Elle est basée sur une vue erronée de l'au-delà.

W. Elle est basée sur de fausses méthodes d'interprétation.

X. Elle s'appuie sur de fausses traductions.

Y. Elle est le point central du premier mensonge.

Z. Plusieurs, parmi les personnes les meilleures et les plus intelligentes qui ont cru au caractère scriptural de cet enseignement, ont été conduits à l'incrédulité.

II C'EST LA MORT

A. Les preuves.

a. Passages formels : Gen. 2 : 17 ; Jér. 31 : 30 ; Rom. 1 : 32 ; 5 : 12, 15, 17 ; 6 : 16, 21, 23 ; 7 : 5 ; 1 Cor. 15 : 21, 22, 56 ; Jacq. 1 : 15 ; 1 Jean 5 : 16.

b. Parallèles : Gen. 3 : 19 ; Rom. 1 : 18 ; 5 : 16, 18, 19.

B. Sa nature.

a. Non la vie : Deut. 30 :15, 19 ; Rom. 5 : 21 ; 6 : 23 ; 8 : 13 ; Gal. 6 : 8.

b. Mais l'extinction.

1. La non existence : Job 6 : 15, 18 ; 7 : 9 ; Ps. 37 : 10, 35, 36 ; 49 : 12 ; 104 : 35.

2. La disparition : Job 31 : 3 ; Ps. 9 :  5 ; 37 : 38 ; 145 : 20 ; Esaïe 1 : 28 ; 1 Cor. 3 : 17 ; Phil. 3 : 19 ; 2 Thess. 1 : 9 ; 1 Tim. 6 : 9 ; 2 Pi. 2 : 1, 12 ; 3 : 16.

3. La consomption : Ps. 104 : 35 ; Esaïe 1 : 28 ; Héb. 12 : 29.

4. La destruction : Esaïe 1 : 20 ; Héb. 10 : 26-28.

5. L'anéantissement : (a) preuve, Job 4 : 9 ; 6 : 15, 18 ; Ps. 73 : 27 ; Prov. 11 : 10 ; (b) la signification de l'anéantissement : Ps. 37 : 20 ; Matt. 8 : 25, 32 ; Luc 11 : 50, 51 ; 13 : 33 ; Jean 3 : 16.

6. Le retranchement :  Ps. 37 : 9, 22, 34, 38.

C. Ses effets : destruction de l'âme et du corps.

a. L'âme meurt : Job 36 : 14 ; Ps. 56 : 13 ; 116 : 8 ; 78 : 50 ; Ezéc. 18 : 4, 20 ; Jacq. 5 :20.

b. L’âme morte n'est pas vivante : Ps. 22 : 29 ; 30 : 3 ; 33 : 18, 19 ; Esaïe 55 : 3 ; Ezéc. 13 : 19 ; 18 : 27.

c. L’âme morte n'existe plus : Ps. 49 : 8.

d. L'âme méchante est détruite : Ps. 35 : 17 ; 40 : 14 ; Prov. 6 :32 ; Ezéc. 22 : 27 ; Matt. 10 : 28 ; Actes 3 : 23 ; Jacq. 5 :20.

e. L'âme méchante est consumée : Esaïe 10 : 18.

f. L ‘âme méchante est dévorée : Ezéc. 22 : 25.

g. L’âme méchante périt: Matt. 16 : 25, 26 (le mot grec pour âme est traduit par vie au verset 25. Voir les bibles annotées).

h. L’ âme méchante est retranchée : Lév. 22 : 3 ; Nomb. 15 : 30.

D. Accord.

a. Elle est d'accord avec les Écritures.

b. Elle est d'accord avec tous les passages des Écritures.

c. Elle est d'accord avec toutes les doctrines des Écritures.

d. Elle est logique, étant un châtiment d'application possible.

e. Elle est d'accord avec le caractère de Dieu.

f. Elle est d'accord avec la Rançon de Christ, sa mort.

g. Elle est d'accord avec tout esprit normal.

h. Elle est d'accord avec l'expérience et l'observation.

i. Elle est d'accord avec la piété.

j. Elle est d'accord avec la raison.

k Elle est d'accord avec la doctrine que le péché cessera.

l. Elle est d'accord avec la doctrine que le mal cessera.

m. Elle est d'accord avec la doctrine que la vie est une faveur.

n. Elle était une doctrine du peuple de Dieu avant l'âge des ténèbres.

o. Elle est l'enseignement de Dieu et de ses serviteurs.

p. Elle inspire la tolérance religieuse et la liberté.

q. Elle est une preuve de l'égalité de tous à la barre de la Justice.

r. Elle est l'enseignement de Christ sur le salaire du péché.

s. Elle est basée sur la nature réelle de l'âme.

t. Elle est d'accord avec l'enfer de la Bible.

u. Elle est basée sur la vue exacte de la vie éternelle.

v. Elle est basée sur la vue exacte de l'au-delà.

w. Elle est basée sur les véritables méthodes d'interprétation.

x. Elle est soutenue par les traductions correctes.

y. C'est la première doctrine enseignée par Dieu à notre race.

z. La croyance en son caractère scriptural a converti des infidèles.

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